Depuis 2014, Christophe Béchu n’a de cesse de nous rabattre les oreilles de sa « smart city », expression grotesque pour désigner ses projets de mégapole désincarnée et babylonienne. Une course à la modernité infernale dont il se sert pour justifier l’installation massive de caméras de vidéosurveillance. Outre le budget pharaonique de ces installations et leur caractère liberticide, force est de constater leur inutilité puisque les agressions ne cessent de se multiplier années après années.
Malgré sa communication soignée et ses sourires de jeune vieux-beau, Béchu ne peut masquer la réalité de ce que devient Angers par sa faute : une ville envahie par les immigrés et par la racaille. Ainsi à la Roseraie nous constatons depuis plusieurs mois une montée subite d’émeutes urbaines et d’incendies de voitures sans que le maire ne réagisse. Lorsque celui-ci daigne se rendre en banlieue ce n’est pas pour la petite moitié de blancs encore présents, mais pour des opérations clientélistes à l’occasion du Ramadan.