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Il y a aujourd’hui 26 ans s’éteignait Sébastien Deyzieu après 2 jours d’agonie. Evoluant dans le sillage de l’Oeuvre Française ce jeune homme de 22 ans s’était rendu à une manifestation contre l’impérialisme américain organisée par les JNR et le GUD. Interdite au dernier moment par le préfet Massoni, la police venue en masse interpelle 107 militants et poursuit ceux qui parviennent à s’échapper. Parmi eux, Sébastien.
Pourchassé jusque dans un immeuble par des policiers en civil il est jeté d’une fenêtre entre le 4ème et le 5ème étage et s’écrase dans la petite cour. Une vie fauchée dans la fleur de l’âge pour un garçon dont le seul crime est d’être nationaliste. À une époque où déjà les journalistes de gauche sont si prompts à dénoncer les prétendus crimes racistes de la police, pas une voix du sérail ne s’indignera de ce meurtre maquillé en accident. Aujourd’hui encore lorsqu’est évoquée cette affaire, on parle pudiquement d’une « chute accidentelle » ; comme s’il était possible que Sébastien fut tombé tout seul par la fenêtre.
Ni les policiers, ni le préfet aux ordres de Pasqua ne furent réellement inquiétés. Pour satisfaire Patrick Gaubert, chargé de mission pour la lutte contre le racisme, auprès de Charles Pasqua au Sénat puis au ministère de l’Intérieur, la droite sacrifiera l’honneur et la mémoire d’un jeune homme après lui avoir ôté la vie, sous couvert d’antifascisme. Cette même idéologie gauchisante qui consiste à éborgner des Gilets Jaunes et verbaliser des petites vieilles pour non-respect du confinement tout en laissant la racaille immigrée répéter ses émeutes.
Alors que nous avons vu ces dernières années l’intensification de l’impunité policière, de la surveillance de masse et de la répression politique, il convient d’honorer la mémoire de Sébastien Deyzieu, par-delà les sensibilités idéologiques et les considérations marketing, et de se rappeler la perversité intrinsèque d’un Système utilisant l’institution policière aux ordres pour lutter contre son propre peuple. Quand trop de patriotes tombent dans le piège du soutien systématique aux forces de l’ordre républicain, l’Alvarium tient à rappeler posément que celles-ci -quelles que soient les motivations initiales des jeunes engagés- sont utilisées plus souvent pour le racket routier et la répression antifrançaise au service d’une élite corrompue que pour le Bien Commun. Dans ces conditions, il est plus que nécessaire de faire comprendre à nos concitoyens l’urgence absolue de la Sécession physique et mentale.
Les Gouvernements se succèdent et le mensonge perdure. Aujourd’hui, le préfet Massoni n’est plus là, mais c’est la France entière qui est interdite de manifestation, de circulation, de messe, de balades et même d’expression pour des prétextes fallacieux. Devant l’accélération de ces mesures liberticides, il importe de faire front et de se souvenir.
Sébastien, présent !