“La République gouverne mal mais se défend bien” écrivait Anatole France. Des martyrs d’Avrillé aux morts du 6 février 1934, des victimes de l’épuration sauvage à Sébastien Deyzieu en passant par les condamnés de l’OAS, cette sentence s’est vérifiée moult fois. L’actualité encore le prouve : le régime n’hésite pas à faire des dizaines de mutilés, même parmi les manifestants pacifiques, dès que gronde la révolte populaire contre la déliquescence du Système. À tous nos morts, nous voulions rendre hier un hommage solennel, sous le regard de la plus grande sainte et héroïne de notre Patrie. Que leur exemple inspire tous les militants nationaux et que leurs sacrifice ne soit pas vain, mais nous exhorte au contraire à plus de droiture, à plus de courage, à plus d’humilité et à plus de dévouement pour les nôtres !