La paranoïavirus ne fait pas seulement le jeu de Big Pharma ; elle est aussi une aubaine pour la culture de mort. Le Gouvernement n’a pas su augmenter le nombre de places en réanimation entre deux confinement, mais il trouve le moyen d’augmenter les délais d’avortement médicamenteux sur simple téléconsultation. Outre les priorités de nos dirigeants qui devraient être préoccupés par sauver des vies plutôt que d’en enlever, cette mesure pose une question éthique évidente. Si on prescrit le poison médicamenteux par téléconsultation, qu’est-ce qui empêchera des femmes de mentir sur le début de leur grossesse et d’avorter au bout de plusieurs mois ? Pour info, une « ivg médicamenteuse » -comme on dit pudiquement- dure 5 jours ; « l’amas de cellule » est d’abord empoisonné (sans quoi il sortirait en bougeant) puis expulsé grâce à un deuxième médicament ingéré par la suite. À 9 semaines le fœtus peut ouvrir la bouche. Ses bras et ses jambes continuent leur croissance au point d’être à peu près proportionnel à la longueur du corps. Les cordes vocales commencent leur apparition. Entre la neuvième et la dixième semaine, on peut connaître le sexe de l’enfant. Cette volonté morbide d’enlever la vie aux tout petits révèle le caractère intrasèquement pervers de ce régime… L’Alvarium rappelle le caractère sacré de la vie de l’enfant à naître et défend la vie humaine, de sa conception à la mort naturelle.