Le terrorisme islamiste se manifeste mois après mois dans notre pays. L’insécurité endémique est l’une des préoccupations principales des français. Mais le ministre de l’Intérieur prétend nous dissoudre et nous interdire de continuer notre action culturelle, sociale et politique.
Un an après la décapitation d’une femme dans la basilique de Nice par un sans-papier tunisien, Gérald Darmanin a un drôle de sens des priorités. Il décrète que c’est « prêcher la haine » que de faire le lien entre immigration et terrorisme. Que c’est semer la division que de distribuer sur nos propres fonds des milliers de repas à des français en difficulté. Ceci alors que des dizaines d’associations concentrées sur l’aide aux migrants sont subventionnées par centaines de milliers d’euros à travers le pays.
Devant cette dérive inquiétante de l’Etat de droit, où une association locale est dans le viseur pour ses seules opinions politiques, il est urgent de se rassembler et de s’opposer à cette énième décision liberticide. Sans quoi ce seront bientôt tous les partis politiques patriotes que l’on pourra dissoudre sous prétexte de « lutter contre la haine ».